Esthétique ou morale?
Démesure ou pondération?
Coeur ou Raison?
Baba yaga ne sait pas.
J'aime les vieux cigares fatigués. Charlotte, my luv, élue.
Quoi que les cigares qui tentent de se donner une prestance, j'aime aussi. Karl mi corazon.
Quel cigare serez vous?
Serez vous un jour un cigare?
Fin de cette disgression; Esthétique ou morale?
Si j'étais Kant, j'aurais mon partiel, et je réussirais ma vie comme Zero.
Mais bon, c'est se condamner a etre un cigare respectable comme Evelyne. Elle est peut-être admirable de volonté, mais c'est tout. Et puis Jean Jean aussi était admirable de volonté. Et pourtant c'est un jean-foutre.
Tout ça c'est à cause des gênes. Note pour plus tard, ne jamais plus regarder la TV.
Je suis en train de passer du côté obscur de la force. Ca c'est le Droit( et la TV).
Il parait qu'Oscar et Joris-Karl sont des vendus. Ah, les lâches. Je suis touché au coeur, que fort heureusement j'ai robuste. Et réversible.
Mais c'est bien en un sens. J'ai perdu mon intransigeance, et peut être mes oeillères aussi.
Elle est bonne la gosse de swimming pool. Et oui, encore la télé. Ah ben voila, je ne pourrais jamais etre moral, puisque je suis pédéraste; je viens de m'en souvenir. Je ne pourrais en effet jamais vouloir que la maxime de cet état de fait soit érigée en loi universelle de la nature-->Il appert que tout est foutu. Mais en fait je suis pas fiote, je ne suis rien, enfin, puissance de choix, mettez vous bien ça dans le crane. (Et d'ailleurs vous aussi, mais vous vous l'avouez pas.bip.). Non pas que je veuille me justifier, renvendiquer normalité ou entraîner corruption. D'ailleurs les tenants de l'un et l'autre bord revendiquent connement le fait d'etre dét... oups définis, enfermés dans un concept étriqué. Définir c'est limiter comme dirait l'autre boche. Et ça se permet de mépriser les "indécis". Mais cela me va. Ca fait plus que m'aller. De fait, Heimatlos, c'est un statut juridique, ah l'heure bonne. Consciences, allez et venez librement, et laissez moi chanter (à vos risques et périls, poncivement). Bon allez, c'est décidé, je reste existentialiste envers et contre toute ces sciences apodictiques d'enculés de leur mère. Le positivisme en diable, c'est pas chouette. Ce film est assez brillant pour le moment, mieux que le dernier dont je ne me rappelle plus le titre. Charlotte fume un joint, je peux mourir, maintenant. Mourir cocu ou mourir désiré? Ah au fait, pendant que j'y pense, et qu'il en est encore tant, avant que cela ne prenne des airs d'ironie grinçante -ça ne loupera pas vous verrez- bon tout ce que vous voulez a vous. Du sang, du vin, de la liqueur, vraie, séminale, des effusions, des pleurs, des cris, de l'hystérie, du bris, des rires (ne pas en abuser, montrer ses incisives, c'est satanique) et plus encore si affinités, pour que 2006 soit une année de fait, de fete, pour se convaincre que tout est vrai, et surtout pour oublier que tout est réellement vrai. Je n'y attends qu'une chose moi, mais je la tairais, parce que je ne suis plus vraiment moi, que je ne m'appartiens pas, que cela fait peur, et que cela est mal en dépit d'irrésistible beauté.Paradoxe(s).040506, même combat? Memes défaites?
Le film était décidément bien.
1 commentaire:
charmant petit post où une fois de plus vous démontrez votre don de scribe et votre sens aïgue de l'ironie et du sarcasme tout en célébrant la béauté de ce film.Cher existentialiste, j'ai peur d'avoir lu entre les lignes mais c tt à votre honneur que de vous montrer si clair et si confus à la fois, c'est ce ki fé ke vs soyez un être exeptionnel d'une rare inteligence et d'une beauté si exhaustive. Au plaisir de vous recroiser du "coté obscur de la force"
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