Entre un palpitant résumé de géo et une sublime traduction d'anglais, bien représentatifs de nos vacances à l'agonie, je tombe sur notre petit flamenco issu de la B.O de Kill Bill, et là, c'est le drame.
Les supers souvenirs des petits squatts de la folie chez léa, avec nos petites danses frénétiques ---> zéro zéro zéro double zéro non non non (immortelle evelyne le slip forever mine), le bad dans la cuisine de la deuxieme soirée, qui a réunit dans une exaspération chronique, Léa, Maggy , Audrey et moi-meme, (léa et moi meme étant completement pété) avec les pates des 3h du matt ( pour nous remotiver) -très équitablement réparties par Léa-, et les "merdes!!!!" qui retentissaient dans toute la baraque. Et quand vers 3h30 on a surgi avec des hoyooooo de la mort dans le salon pour le bonheur de ceux qui y dormaient, qu'on fout la chanson précitée à fond avant et qu'on recommence à danser sans conviction, tout en croquant du Jeanjean, puis qu'enfin retour du bad en écoutant placy sur la terasse.
Ca contraste fort avec l'ambiance du moment, et devant l'ennui profond que je ressens devant le travail que nous a sympathiquement administré notre bien aimée et plus que chère denissou.
Audrey a beau me dire "on é pas morts alors on aura dotre memories!" je ne peux m'empecher de bader un brin en me disant " des moments comme ça on les retrouvera jamais". Je sais, je sais, on en aura peut etre de mieux encore, le vie c'est comme ça, la nostalgie est inutile, toute bonne chose a une fin, mais bon...
MAIS BON...
C'est exaspérant ce que les choses sont fugaces, mais après tout d'autant plus sublime qu'elles sont uniques.
Je cours présentement vers mes petits devoirs scolaires.
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