jeudi 3 juillet 2003

Il flotte comme un parfum de souvenir autour de moi, je touche les vieux ébènes poussiéreux, respire les puissantes effluves des roses oubliées qui fanent a terre comme une ombre de vie, souvenir d'une beauté disparue...Je me drape dans un velour rapé, effleure de la main des froids gisants de marbre aux fleurs sinueuses... décadence impérissable... vieillerie, vestige de grandeur passée, le roi est mort, vive le roi. Inéluctablement la fatalité me liera a ses froides déstinées,m'assujetissant d'une main glacée au passé...
D'implacables araignées me lieront au sol par de faibles liens et poussière redevenant poussière, je me serai trouvé.

Bon Nono tu m'a dit d'écrire,et com je me fait chier, je couche l'humeur du jour sur...euh...le blog.

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